A few thoughts, a few sayings

-"Je suis celui qui te connais quand tu fuis jusqu'au bout du monde" Jacques Bertin (Je suis celui qui court)

- "Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde..." Saint-Exupéry (Petit Prince)

- "Et le plus beau, tu m'as trahi. Mais tu ne m'en as pas voulu" Reggiani (Le Vieux Couple)

- "We all got holes to fill And them holes are all that's real" Townes Van Zandt (To Live is To Fly)

- "Et de vivre, il s'en fout, sa vie de lui s'éloigne... Tu marches dans la rue, tu t'en fous, tu te moques, de toi, de tout, de rien, de ta vie qui s'en va." Jacques Bertin (Je parle pour celui qui a manqué le train)

- "I thought that you'd want what I want. Sorry my dear." Stephen Sondheim (Send in the clowns)

- "Pauvre, je suis de ma jeunesse, De pauvre et de petite extrace. Mon père jamais n'eu grand richesse, Ni son aïeul nommé Orace. Pauvreté nous suit à la trace, sur les tombeaux de mes ancêtres, Les âmes desquels Dieu embrasse! On n'y voit ni couronnes ni sceptres." François Villon (Pauvre, je suis)

- "Vous êtes prêts à tout obéir, tuer, croire. Des comme vous le siècle en a plein ses tiroirs. On vous solde à la pelle et c'est fort bien vendu" Aragon (Ce qu'il m'aura fallu de temps pour tout comprendre)

- "And honey I miss you and I'm being good and I'd love to be with you if only I could" Bobby Russell (Honey)

- "And I need a good woman, to make me feel like a good man should. I'm not saying I am a good man Oh but I would be if I could" Fleetwood Mac (Man of the World)

- "Je ne comprends pas ces gens qui peuvent s'installer n'importe où quand je cherche inlassablement avec la tête fermée que tu connais l'endroit où je retrouverai mon enfance" Jacques Bertin (Colline)

vendredi, octobre 08, 2010

Nurturing a story

Ah! Ecrire, quelle malédiction! Je mulitiplie les essais, un chapitre, deux, parfois plus sont couchés sur le papier et y restent vaincus. Manque de temps surtout, de persévérance (aussi) d'humeur (parfois). Je me consolle en me disant que ça me permet de nourir l'histoire que j'ai en tête ( à condition qu'elle y reste).

Le brouillon et l'essai de premier chapitre publiés dernièrement (tout est relatif) me tentent toujours, attendent toujours une retranscription de mes notes papier (la question dans ces cas là est surtout de savoir si le travail en vaut la chandelle, chandelle bien utile lorsqu'il faut se pencher douloureusement sur le bout de papier remplis d'une écriture fébrile et cahotante (dû au moyen de transport et non à la folie qui me guette)) même si j'ai depuis écris un autre premier chapitre (troisième essai d'une histoire qui me hante depuis près de 2 ans), l'idée me vient peu à peu de relier ces histoires (pas juste pour pouvoir prétendre que voilà j'ai trois chapitres vu qu'il me faudra probablement tout réécrire) car il faut bien l'avouer j'ai un autre manque c'est celui de ne pas trop savoir où je vais (à part une vague idée de ce que je veux raconter évidemment mais si l'origine et le but,lointain, sont en tête le chemin lui n'a pas encore germé). Je fonctionne à l'instinct, à l'humeur (la mienne cela va de soi mais celle des personnages aussi, l'un capricieux exigeant voudra commander, punir, s'isoler, l'autre perdu chercher à suivre et à apprendre. Il me faut donc trouver des espaces où ces personnages puissent s'épanouir et ce n'est pas tout car voilà j'ai en plus la prétention de vouloir faire de tout ça une lecture agréable (là où le bas blesse me direz vous) et je ne peux m'empêcher pour l'instant de ne pas être satisfait des résultats obtenus, c'est donc en forgeant qu'on devient forgeron mais mon assiduité est-telle que ce sera un travail de longue haleine. J'espère reprendre d'ici la fin de l'année afin de me fixer et d'enfin voir grandir un projet qui me titille depuis bien trop longtemps.